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Suite à l'incident, la direction de l'armement avait lancé une procédure de licenciement pour faute grave, en raison de l'atteinte à l'image de la compagnie. Une décision effective fin janvier 2008 et confirmée par l'inspection du travail, un accord nécessaire dans le cadre du licenciement d'un salarié « protégé » par son mandat syndical. Christian Leblond et la CFDT avaient alors porté l'affaire devant le tribunal administratif, compétent pour connaître des décisions de l'administration. En première instance, le tribunal de Rennes avait validé la décision. Un jugement qui vient donc d'être annulé en appel par la cour de Nantes.
Source : Mer et Marine - le 07/02/2012
http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=118706
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